Volatile Ombré

Projet de spectacle tout public dès la petite enfance.

Théâtre d’ombre au rétroprojecteur, musique et chant

Sur une idée originale de Coline Hateau en collaboration avec la Compagnie la Rotule et Un deux Un deux


Volatile ombré, un titre qui sonne comme un virelangue pour un spectacle où les mots et les ombres s’imbriquent, ou la musique pépie, gazouille et zinzinule, baignée de lumière poétique. 


Coline Hateau : direction artistique, écriture, théâtre d’ombre au rétroprojecteur, mise en scène
Arnaud Millan : chant, ondes Martenot, guitare, violoncelle, objets résonants, écriture

Vincent Lahens : collaboration à la mise en scène

Dossier complet téléchargeable

https://cielarotule.com/dossier-complet-volatile-ombre/


Volatile ombré, c’est du théâtre d’ombre au rétroprojecteur, accompagné de musique et de chant, sur la thématique des oiseaux

L’écriture sous forme de tableaux de ce spectacle – une écriture non narrative – permet d’orienter les images créées et la musique composée, pour donner à voir et à entendre des scènes singulières. Dans ce moment hors du temps qu’est le spectacle, la poésie y est très présente au travers des images, des ombres, que par les textes ou le sens est porté par la musicalité des mots. L’imaginaire du tout jeune spectateur est très sollicité.

L’oiseau, c’est la petite mésange et le long héron, la ronde poule d’eau, le majestueux gypaète. Mais l’oiseau c’est aussi celui que l’on entend bien souvent avant de le voir et lorsqu’on l’aperçoit, c’est en levant les yeux, dans la même position que l’enfant qui lève la tête pour appréhender le monde. L’oiseau, c’est donc la diversité de formes mais aussi le chant et la musique, le rythme et la répétition.

Côté image, Coline utilise le rétroprojecteur pour une manipulation en direct d’objets, de liquides et de découpages. A ces ombres minutieuses projetées depuis le rétroprojecteur, se mêlent parfois des ombres-silhouettes (Coline ou Arnaud, avec ou sans masque).

Côté musique, Arnaud compose et écrit des chansons en français et joue de la guitare, du violoncelle et des ondes Martenot (premier instrument électronique qui fêtera bientôt son premier siècle). Il utilise également une interface numérique (sur MaxMSP) pour piloter les modules diffuseurs de son qui joueront une partition évolutive et interactive. 

Sur scène, un ou des écrans sont pensés comme des réceptacles à lumière, ombres et images. Des éléments de décor paraissent abstraits et prennent du sens une fois éclairés sous un certain angle. Ces mêmes éléments diffusent le son grâce à une installation électro-acoustique. Ils deviennent éléments vibrants et résonnants et sont une très bonne manière d’expliquer de façon très intuitive ce qu’est le son : une onde perçue par le corps.

Le musicien est présent et joue et chante en direct devant l’écran ou depuis l’arrière de l’écran ou il est visible en silhouette, en ombre. Le tout petit est assis au sol, proche des vibrations sonores et lumineuses, sur des tapis tactiles qui l’aident à se concentrer et à profiter pleinement du spectacle.